19/11/2024
La compétence principale dans une bagarre n'est pas le vice. Connaître une multitude de techniques de self défense, aussi simple et efficace soit elles, ne sert également à
rien.
Dans la rue, il n'y a pas de fair-play, seul l’expérience compte.
Le vice dans le contexte des violences de rue fait généralement référence à des réactions de combat
déloyales ou extrêmes.
Cependant, ces comportements sont indéfinissables et présentent de nombreux inconvénients majeurs.
Un manque de fiabilité : il n’y a pas de « techniques de vice » existantes et elles ne peuvent ni s’apprendre, ni être reproductible dans une situation réelle quelconque pour le commun
des citoyens.
Pour tous les « débutants » de la violence, l'adrénaline et le stress affecteront
quoiqu'il arrive la précision et la coordination.
Contrairement à ce que l’on nous laisse entendre, le vice ne désigne qu’un comportement ou une habitude qui est considéré comme immoral, déviant ou nuisible à soi-même ou à autrui.
Il s'agit d'une action ou d'une tendance à adopter des pratiques contraires aux principes éthiques, moraux ou sociaux.
Cela n’a rien à voir avec une compétence de self défense.
Sans l’expérience d’une confrontation à la violence, il ne s’agit en aucune manière d’une aptitude pour se défendre dans les bagarres de rue.
Une notion est une idée ou un concept fondamental qui permet de comprendre ou de saisir un aspect particulier d'un sujet, d'un domaine ou d'une discipline. C'est une représentation mentale qui
aide à structurer et à organiser nos connaissances.
Les notions sont souvent utilisées comme des éléments de base dans l'apprentissage et le raisonnement, permettant de développer des idées plus complexes ou de mieux comprendre un phénomène.
Par exemple :
Les notions servent donc de leviers pour organiser la pensée et permettent d'articuler des idées sur un sujet donné. Elles sont souvent simples, mais essentielles pour bâtir des compréhensions plus élaborées.
Cela n’a rien à voir avec une compétence de self défense.
Dans une bagarre de rue, ce qui permet de s’en sortir indemne est beaucoup plus simple :
Les parties du corps ciblées : les recherches actuelles montrent que lors d'agressions, les zones les plus fréquemment visées sont la tête, le cou et le visage.
Cette information est cruciale pour comprendre la dynamique réelle des confrontations et souligne l'importance de protéger ces zones vulnérables plutôt que de se fier à des techniques de
« vice » peu réalistes.
Les armes blanches courantes : les études sur l'utilisation d'armes comme les bouteilles dans les bagarres de bar, les battes de baseball et les machettes (dans un avenir proche ?).
Ces données mettent en évidence la nécessité de se préparer à faire face à des menaces concrètes plutôt qu'à des scénarios imaginaires.
Dans une bagarre de rue, ce qui importe vraiment, c'est l'efficacité, la réactivité et la maîtrise de soi.
L'efficacité en self défense repose sur une compréhension approfondie des dynamiques réelles des agressions, une préparation mentale et physique adéquate, et des tactiques éprouvées
éthologiquement.
Le « vice » ou les techniques doivent être écartés au profit d'une approche plus pragmatique et efficace face aux menaces réelles de notre quotidien.
L’agressivité chez l’enfant est elle d’origine génétique ? Sur le long terme, ce n'est pas la génétique, mais plutôt de facteurs environnementaux qui seraient la principale cause de...
La violence en France est-elle liée à l'augmentation de la misère ? Plusieurs théories ont cherché à expliquer ce phénomène, mais aucune d'entre elles n’avait permis d’en proposer une...