05/10/2023
Sur terre, le couteau demeure une arme d'une redoutable efficacité, suscitant à la fois fascination et inquiétude.
Les formations comportementales aux gestes de self-défense contre le tranchant de la lame empreintes une majorité de leurs « techniques » aux mythes et croyances. Alors qu'il est inversement et proportionnel temps d'adopter une approche pragmatique, afin de se prémunir face à cette menace.
Au cours de l'évolution, l'humanité a franchi les échelons de la chaîne alimentaire grâce, en grande partie, à l'invention du tranchant et du couteau.
Cet objet devenu un outil, par sa polyvalence, a permis à nos ancêtres hominidés de chasser et de récolter leur nourriture. Une avancée cruciale qui date d’environ 6,5 millions d’années et qui a marqué notre histoire à jamais.
Cependant, lorsqu'il s'agit de faire face à un couteau brandi par un agresseur, les grands penseurs de la self défense contre le tranchant du couteau sont unanimes : la meilleure option est de fuir.
Ce conseil n'est pas avisé et perd tout son sens lorsque la possibilité de prendre la fuite n'est plus réelle. Régulièrement, voir majoritairement, la fuite face au tranchant de la lame n'est pas envisageable.
Face à cette situation critique, les techniques de self-défense contre le tranchant de la lame décontextualisées, basées uniquement sur la biomécanique, se révèlent totalement inefficaces, voire impossibles à reproduire sous le coup de l'émotion.
La self-défense au couteau requiert une compétence spécialisée et aléatoire, relevant plus d'une approche tactique que de techniques complexes.
Dans cette optique, des systèmes pragmatiques et spécifiques se sont développés pour répondre à cette problématique avec justesse.
Le Tolpar en Russie, le système Lajolo knife system en Italie, le Trimigno System, ou encore le Scrima Traditional Italian Art, sont autant d'exemples de méthodes offrant des réponses tactiques pour faire face à une agression au couteau.
Ces approches mettent en avant la compréhension des réactions tactiques appropriées, plutôt que de se perdre dans des techniques fastidieuses.
Changer d'avis n'est pas ici une simple question d'opinion ou de croyance, mais bien une question éthologique. Les faits sont incontestables : la self-défense au couteau exige une approche réfléchie et spécialisée. En s'appuyant sur des méthodes pragmatiques éprouvées, il est possible de se doter des compétences nécessaires pour faire face à cette situation délicate.
En conclusion, maîtriser la self-défense au couteau va au-delà des simples idées préconçues. C'est un apprentissage fondé sur le pragmatisme, la compétence et l'observation des faits.
En adoptant une approche humaine, simple et facilement compréhensible, nous pouvons nous doter des outils nécessaires pour réagir efficacement en cas de confrontation avec un couteau.
Les faits sont têtus, en « self-défense contre le tranchant de la lame » : « Il y a ceux qui croient et ceux qui savent. J'ai la prétention d'affirmer que je ne crois pas ». Kragma
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